Sylvie TUBIANA,
Juste du bleu - Plenitude VIII
120 x 120
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Sylvie TUBIANA,
ming-men n°I
22,5x30
22,5x30
Sylvie TUBIANA,
mem_secret_I
50 x 50
50 x 50
Sylvie TUBIANA,
menuiserie-n°II
120x100
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Sylvie TUBIANA,
Ferme Haras 4
50x50
50x50
Sylvie TUBIANA,
Gondar-1
50 x 50
50 x 50
Sylvie TUBIANASite officiel
Sylvie TUBIANA, 10/01/2011 au 15/03/2011
Sylvie TUBIANA, 10/01/2011 au 15/03/2011
Exposition du 31 janvier au 6 avril 2014 au CAP de Royan Les Voûtes " Incarnations éthiopiennes"
Sylvie Tubiana intervient dans des espaces laissés en l'état dans un dialogue avec l'architecture et l'atmosphère du lieu, reliant ainsi le patrimoine historique et l'art contemporain. Relier passé, présent et avenir.
Le travail de Sylvie Tubiana d’installations épousant au plus près les aspérités d’un lieu débute en 1992 avec la série « Evénement d'espace ». En 1994 avec la série « Juste du bleu », la présence du corps s'inscrit dans l'image et y trouve encore sa place aujourd'hui.
La recherche porte sur des petites mises en scène mettant en relation l'absence et la présence, la liberté et l'enfermement et un espace de vie : un corps photographié est projeté par diapositives sur des murs inclinés, dans des angles, sur des matières, jusqu’à parfaite déformation de l’image alors re-photographiée. Savoir habiter son corps et savoir habiter son espace de vie métamorphose un être.
La lumière et la perspective sont les données essentielles de ce travail.
La perspective parce que le choix du point de vue détermine l’image finale : l’œil du photographe tourne autour de cette image comme d’une sculpture, non seulement pour définir un cadrage, une distance, mais aussi pour choisir une déformation, une distorsion précise. De la fixation du mouvement, la photographie en vient à donner du mouvement au figé…
La lumière parce qu’une quantité importante d’effets obtenus provient directement de l’utilisation du faisceau lumineux porteur de l’image. Ce sont tout à la fois le grain de la peau, le grain du mur et les grains de lumière que donnent à voir ces photographies. Sylvie Tubiana rappelle ainsi avec force que la lumière est l’essence même de la photographie. Son œuvre est comme un tableau sans peinture, où le point de départ n'est pas la matière mais l'espace.
Sylvie Tubiana utilise d'autres supports : papiers, pierres, tissus vidéo, les installations.
Sylvie Tubiana intervient dans des espaces laissés en l'état dans un dialogue avec l'architecture et l'atmosphère du lieu, reliant ainsi le patrimoine historique et l'art contemporain. Relier passé, présent et avenir.
Le travail de Sylvie Tubiana d’installations épousant au plus près les aspérités d’un lieu débute en 1992 avec la série « Evénement d'espace ». En 1994 avec la série « Juste du bleu », la présence du corps s'inscrit dans l'image et y trouve encore sa place aujourd'hui.
La recherche porte sur des petites mises en scène mettant en relation l'absence et la présence, la liberté et l'enfermement et un espace de vie : un corps photographié est projeté par diapositives sur des murs inclinés, dans des angles, sur des matières, jusqu’à parfaite déformation de l’image alors re-photographiée. Savoir habiter son corps et savoir habiter son espace de vie métamorphose un être.
La lumière et la perspective sont les données essentielles de ce travail.
La perspective parce que le choix du point de vue détermine l’image finale : l’œil du photographe tourne autour de cette image comme d’une sculpture, non seulement pour définir un cadrage, une distance, mais aussi pour choisir une déformation, une distorsion précise. De la fixation du mouvement, la photographie en vient à donner du mouvement au figé…
La lumière parce qu’une quantité importante d’effets obtenus provient directement de l’utilisation du faisceau lumineux porteur de l’image. Ce sont tout à la fois le grain de la peau, le grain du mur et les grains de lumière que donnent à voir ces photographies. Sylvie Tubiana rappelle ainsi avec force que la lumière est l’essence même de la photographie. Son œuvre est comme un tableau sans peinture, où le point de départ n'est pas la matière mais l'espace.
Sylvie Tubiana utilise d'autres supports : papiers, pierres, tissus vidéo, les installations.