Monique TELLO
07/10/2016 au 12/11/2016
07/10/2016 au 12/11/2016
" Dialogue à trois " samedi 5 nov.à 17h avec Monique Tello, Jean-Luc Terradillos, denis Montebello.
" Fidèle à ce qui l'inspire depuis près de trente ans, Monique Tello explore sa propre voie de la création picturale, détachée de la problématique abstraction/figuration. Elle poursuit sa quête auprès des Primitifs, elle trace son chemin…loin de toute séduction, simplement sincère, forcément puissante.
Elle ne creuse pas la perspective ; elle creuse l'espace par la couleur et la lumière. Elle travaille à la surface de la toile, par superposition, juxtaposition, chevauchement de motifs, de matière... "
Anne Bénéteau
Pour cette première exposition à la galerie, Monique Tello montre un travail récent sur la figure. Comme le dit l'écrivain Denis Montebello : " “ Je ne sais pas si le bâton appelle l'arbre, le rappelle, ou s'il est seulement là pour le vertical, pour la scission de la figure, sa dissolution et montrer que Monique Tello reste un peintre abstrait. Car ce n'est pas Hokusai qui s'avance, son Autoportrait sous l'aspect d'un vieillard (celui du Musée Guimet), ce sont toujours les feuilles de figuier, de fatsia japonica dont elle aime à dire qu'elles sont symétriques et en même temps asymétriques. Comme l'homme.”
Jean Pierre Pincemin, le 3 février 1990 : "Le sujet chez Monique Tello, que veut-il dire ? Le pinceau va là, là et là, constitue par un réseau de formes, des architectures, un continent, qui nomment le tableau comme lieu de reconnaissance visuelle du réel ; le tableau se nomme, se change, se renouvelle. Car ainsi est le réel jamais pareil et constitué d’archipels plus ou moins grands sur quoi se loge la raison et l’intelligence. Le talent en plus : c’est de montrer à voir, et d’en faire un mode pratique pour les autres : le spectateur s’associe à cette découverte. "
" Fidèle à ce qui l'inspire depuis près de trente ans, Monique Tello explore sa propre voie de la création picturale, détachée de la problématique abstraction/figuration. Elle poursuit sa quête auprès des Primitifs, elle trace son chemin…loin de toute séduction, simplement sincère, forcément puissante.
Elle ne creuse pas la perspective ; elle creuse l'espace par la couleur et la lumière. Elle travaille à la surface de la toile, par superposition, juxtaposition, chevauchement de motifs, de matière... "
Anne Bénéteau
Pour cette première exposition à la galerie, Monique Tello montre un travail récent sur la figure. Comme le dit l'écrivain Denis Montebello : " “ Je ne sais pas si le bâton appelle l'arbre, le rappelle, ou s'il est seulement là pour le vertical, pour la scission de la figure, sa dissolution et montrer que Monique Tello reste un peintre abstrait. Car ce n'est pas Hokusai qui s'avance, son Autoportrait sous l'aspect d'un vieillard (celui du Musée Guimet), ce sont toujours les feuilles de figuier, de fatsia japonica dont elle aime à dire qu'elles sont symétriques et en même temps asymétriques. Comme l'homme.”
Jean Pierre Pincemin, le 3 février 1990 : "Le sujet chez Monique Tello, que veut-il dire ? Le pinceau va là, là et là, constitue par un réseau de formes, des architectures, un continent, qui nomment le tableau comme lieu de reconnaissance visuelle du réel ; le tableau se nomme, se change, se renouvelle. Car ainsi est le réel jamais pareil et constitué d’archipels plus ou moins grands sur quoi se loge la raison et l’intelligence. Le talent en plus : c’est de montrer à voir, et d’en faire un mode pratique pour les autres : le spectateur s’associe à cette découverte. "