Jacques ASTOULE
Jacques ASTOULE
09/06/2011 au 16/07/2011
Jacques ASTOULE
09/06/2011 au 16/07/2011
Les peintures de Jacques Astoule nous proposent plusieurs entrées et captivent ainsi notre regard.
Ce qu’elles nous racontent, d’abord : une histoire qui nous happe.
Des récits apparentés à des rêves, qui mettent en scène le plus souvent des êtres bizarres, des animaux inconnus, étranges, des êtres flottants.
Ce qu’elles nous donnent à voir : une « image » dans laquelle on se promène, on cherche.
La mise en scène d’un monde dont les éléments, en décalage les uns avec les autres, sont en équilibre instable, et pourtant tout s’enchaîne, tout s’imbrique, et tout tient.
La description d’un espace mystérieux, et néanmoins proche, avec ses corps enlacés, ses mers, ses ports.
Ce qu’elles nous donnent à sentir, avec leurs tonalités variées.
Un humour corrosif ou la volonté de questionner, d’interroger la vie même. Une énergie vigoureuse, voire dure, et une certaine tendresse, sensibilité.
Jacques Astoule peint également des portraits, visages massifs qui relèvent du bloc de pierre.
Ces personnages énigmatiques, apparemment inexpressifs et fermés, aux yeux mi-clos, se confondent avec leurs pensées, secrètes. On peut se demander s’ils ne perçoivent pas, en fait, l’invisible, l’indicible.
De nombreuses personnalités ont écrit sur l’œuvre de Jacques Astoule. Retenons les propos de Michel Crépeau, un ami de toujours : « sa peinture forte, spontanée, pleine d’énergie, reflète ses interrogations à travers un désordre apparent mais très organisé, pour quiconque sait regarder et voir. »
Mais qui mieux que l’artiste peut parler de son œuvre : « C’est par le tâtonnement qu’arrivent par bouffées les pistes que j’emprunte. C’est dans le désir, la profusion, que s’installent et se développent des histoires inimaginables qui racontent sans s’appesantir sur le sujet. C’est dans la confusion des débuts que s’articulent les signes, dans cette opération qui pour moi reste un mystère. Ce sont des histoires qui ne veulent rien dire, sauf que tout un chacun peut y trouver un sens…différent. »
Ce qu’elles nous racontent, d’abord : une histoire qui nous happe.
Des récits apparentés à des rêves, qui mettent en scène le plus souvent des êtres bizarres, des animaux inconnus, étranges, des êtres flottants.
Ce qu’elles nous donnent à voir : une « image » dans laquelle on se promène, on cherche.
La mise en scène d’un monde dont les éléments, en décalage les uns avec les autres, sont en équilibre instable, et pourtant tout s’enchaîne, tout s’imbrique, et tout tient.
La description d’un espace mystérieux, et néanmoins proche, avec ses corps enlacés, ses mers, ses ports.
Ce qu’elles nous donnent à sentir, avec leurs tonalités variées.
Un humour corrosif ou la volonté de questionner, d’interroger la vie même. Une énergie vigoureuse, voire dure, et une certaine tendresse, sensibilité.
Jacques Astoule peint également des portraits, visages massifs qui relèvent du bloc de pierre.
Ces personnages énigmatiques, apparemment inexpressifs et fermés, aux yeux mi-clos, se confondent avec leurs pensées, secrètes. On peut se demander s’ils ne perçoivent pas, en fait, l’invisible, l’indicible.
De nombreuses personnalités ont écrit sur l’œuvre de Jacques Astoule. Retenons les propos de Michel Crépeau, un ami de toujours : « sa peinture forte, spontanée, pleine d’énergie, reflète ses interrogations à travers un désordre apparent mais très organisé, pour quiconque sait regarder et voir. »
Mais qui mieux que l’artiste peut parler de son œuvre : « C’est par le tâtonnement qu’arrivent par bouffées les pistes que j’emprunte. C’est dans le désir, la profusion, que s’installent et se développent des histoires inimaginables qui racontent sans s’appesantir sur le sujet. C’est dans la confusion des débuts que s’articulent les signes, dans cette opération qui pour moi reste un mystère. Ce sont des histoires qui ne veulent rien dire, sauf que tout un chacun peut y trouver un sens…différent. »