Partant d’esquisses faites sur le motif à l’instar d’un Courbet, ces repérages sont pour Guy de Malherbe des points de départ pour une interprétation et une reconstitution mentale. Ce qui peut sembler être au premier abord un paysage réel d’un littoral ou d’un estran est une évocation au delà du réel, une révélation de sa perception de la nature, comme si « le motif se mettait au service de la peinture et non l’inverse ». Ces paysages, où le minéral se dévoile anthropomorphique exercent une fascination intérieure.


Guy de Malherbe expose à Paris, à la Galerie Vieille du Temple, au Mans, à New York, à Montréal.
En 2012 il a effectué une résidence à la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, suivie de l’exposition « Obscurité/Eblouissement ».
Dans son dossier « Spécial 10 ans – 101 artistes » la revue Art Absolument le consacre parmi les peintres qui comptent.